jeudi 1 décembre 2016

Les possibilités infinies de l'aquarelle...

Après avoir terminé le tome 12 de Lady S, j'ai repris mes crayons et ressorti mes aquarelles pour avancer sur l'album que Pierre Christin et ma pomme sommes en train de vous concocter pour... pour... euh...  pour, disons, bientôt (le temps passe tellement vite).
Et là, dans cette phrase apparemment anodine, je viens pourtant de prononcer un mot magique : AQUARELLE.

Alors que j'avance sur les pages de cet album, je suis sans cesse étonné par la richesse des possibilités que peut offrir cette technique. Sur le deuxième chapitre de ce livre, c'est le noir et blanc qui dominera, avec quelques touches de couleur ici et là. Mais quand je dis noir et blanc, ça inclus bien sûr toutes les nuances de gris que l'on peut obtenir avec un simple tube d'aquarelle noire. Il suffit pour ça d'ajouter de l'eau et de diluer un peu, beaucoup, passionnément, à la folie... Plus le pigment sera dilué, et plus il laissera voir le blanc du papier, chargé lui de restituer la lumière. Le choix du papier est essentiel, et chacun trouvera celui qui lui convient le mieux. Moi, c'est du...
Ah, ah, ah, vous ne croyez tout de même pas que je vais révéler tous mes trucs, non ?

Bon, c'est bien joli de parler, mais comme le disait Napoléon, un bon dessin vaut mieux qu'un long discours. Donc voici un "avant-après" qui présente deux pages de l'album. A gauche la version au crayon, qui n'est finalement qu'un support assez basique. Et à droite le résultat final. 



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